Heavy

Avant de devenir l’artisan appliqué de fictions hollywoodiennes occasionnellement réussies (Copland, Walk the Line, 3 h 10 pour Yuma), James Mangold est passé par la case “indé”, comme tout réalisateur de studio qui se respecte. Dans ce premier film a priori formaté pour Sundance – une (petite) communauté de l’Amérique profonde (mais pas trop) révèle […]

Le saviez-vous ? L'Homme qui en savait trop d'Hitchcock rend hommage aux peintures de Delacroix.

Alfred Hitchcock a souvent fait référence à la peinture, en particulier aux surréalistes qu’il admirait beaucoup, au point de collaborer en 1944 avec Salvador Dali pour La Maison du Dr Edwards. Il ne faut pourtant pas voir chez eux l’unique source d’inspiration picturale du réalisateur. Avec Fenêtre sur cour, Hitchcock s’inspire d’Hopper, puis, avec La […]

Cette sacrée vérité

Un classique de l’âge d’or de la comédie américaine, avec un Cary Grant de routine : loufoque. Lorsqu’il tourne Cette sacrée vérité en 1937, Leo McCarey est loin d’être un nouveau venu dans le monde de la comédie. Il a déjà collaboré, entre 1927 et 1930, à trente-sept épisodes de Laurel et Hardy et supervisé, […]

Livre - <i> La Ferme du Garet</i>

Reporter, cinéaste ou photographe, Raymond Depardon ne l’est devenu qu’en quittant la ferme familiale pour Paris et les voyages : un itinéraire qu’il raconte dans son nouveau livre, La Ferme du Garet. Après s’être tiré le portrait, il commente ici ses premières images.

Main basse sur la ville

The Harder they come, tourné en 72 et diffusé cette semaine sur Arte, se révèle toujours un brûlot acide sur le Kingston de la vague reggae et du libéralisme économique : dans le ghetto de Trenchtown surfent dealers, putes, flics pourris et politiciens véreux, à l’envers de la Jamaïque touristique. Le metteur en scène Perry Henzell revient sur son film culte.

Portrait de Rivette par les actrices de Haut bas fragile

Portrait de Rivette tressé par les trois actrices de Haut bas fragile: Marianne Denicourt, Nathalie Richard et Laurence Côte

Complot de famille : Jacques Rivette

Haut bas fragile : un film d’une étonnante jeunesse signé Jacques Rivette. Un cinéaste dont la trajectoire éthique, dans le travail comme dans la vie privée, est d’une cohérence irréprochable. Son secret ? Il demeure, la soixantaine passée, d’une curiosité insatiable, sachant marier érudition et modestie. Mais il sait surtout s’entourer comme toujours : en l’occurrence de trois filles adoptives, Laurence Côte, Nathalie Richard et Marianne Denicourt.

Le saviez-vous' <I>L'Inspecteur Harry</I> est un commentaire de Marx

Dans sa Critique de l’Etat hégélien, écrite en 1843, le jeune Marx, commentant les Principes de la philosophie du droit de Hegel, s’interroge sur la nature de la loi et de ses rapports avec la Constitution. Ceux-ci se nourrissent d’une antinomie fondamentale entre “ce que le pouvoir législatif doit être et ce qu’il est réellement, […]

Lisbonne ballade

Film d’une absolue fantaisie, oscillant entre poésie et expérimentation, Trois palmiers sort le 12 avril. Rencontre en avant-première avec son réalisateur, le très libre João Botelho.</

Le saviez-vous ? Les Vikings de Richard Fleischer rejoue la tragédie des Atrides

D’abord un rappel hellénique des faits : chassés par leur père pour avoir sauvagement rectifié leur demi-frère, Atrée et Thyeste se disputent le royaume de Mycènes. S’ensuit une cavalcade de franches saloperies où le fratricide le dispute à l’infanticide avec supplément totalement gratuit de festins nécrophages et de tortures succulentes. Oreste, petit-fils d’Atrée, mettra fin […]

Le magazine

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