critique
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Pour la bonne cause, les Anglais dévoilent un live en forme de démonstration scénique, avec vingt chansons taillées dans des étoffes précieuses.
Hanté par l’amour, ce troisième album tire des larmes avec des chansons éternelles.
David Fincher ausculte la genèse de Citizen Kane à travers le personnage de son scénariste, Herman Mankiewicz, esprit brillant mais autodestructeur. Une réflexion à la fois ironique et sombre sur l'ambition artistique et un film-somme de son auteur. Produit par Netflix, Mank est mis en ligne le 4 décembre.
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Malgré sa trame qui puise dans une blessure intime de son auteur, “Uncle Frak” d’Alan Ball ne retrouve pas la puissance dramatique de ses créations antérieures.
Une sélection salutaire du label de Jack White pour documenter un pan inexploré de la scène musicale de Détroit : le shoegaze.
Accents prolo, postiches et fausse commisération : le mélo made in Netflix vire au nauffrage.
La reprise est un art dans lequel excelle le groupe de Nashville emmené par Kurt Wagner.
Seul au piano, le poète anthracite livre une performance d’une beauté nue. Et bouleversante.
Originaire du Bénin et composé de sept (pré)adolescentes, le groupe Star Feminine Band sort huit chansons joyeuses et frondeuses axées sur l’émancipation de la femme. Une vraie révélation.
Quatorze ans après ses mémorables Sessions, le chanteur barbu revisite son répertoire en version déshabillée. Frissons garantis.