critique
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La jeune Anglaise revient avec un nouvel ep enchanteur qui cultive son imprévisibilité.
Un premier album qui récite les yeux fermés toute la syntaxe de la soul américaine.
La grande prêtresse folk française Emmanuelle Parrenin et le musicien electro allemand Detlef Weinrich signent avec “Jours de grève” un album en liberté alliant superbement goût de l’aventure et sens de l’épure.
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Après un premier volume paru pour le Disquaire Day, cet écrin de reprises s’enrichit d’une dizaine de titres où Daho s'approprie, toujours avec subtilité, la pop anglo-saxonne d’antan.
Le guitariste négocie avec brio un virage orchestral et se fait son cinéma aux humeurs changeantes.
D'après le titre éponyme du livre de Joseph Ponthus, offrant un témoignage saisissant du travail en usine, Michel Cloup, Pascal Bouaziz et Julien Rufié signent un album puissant au confluent de la chanson, du rock et de l’électronique.
Les fers de lance du label londonien Memphis Industries s’emparent des codes du traditionnel disque de Noël sur une compilation réjouissante.
Passé par les mains expertes de Dan Carey, le trio londonien dévoile un premier ep infusé à la new wave, au punk et à la fête – avec ou sans acide.
Excellant toujours dans la création d’outre-mondes, le studio d'animation s’aventure sur le terrain de la réincarnation avec une comédie mature et complexe.
Une genèse prestigieuse et un casting de haut vol ne sauvent pas ce film péniblement didactique.