critique
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Des femmes de militaires partis au front décident de créer une chorale. Une comédie triste qui ausculte avec empathie les asservissements produits par la guerre.
Avec cette comédie musicale clinquante, le réalisateur tacle le cynisme des artistes faussement engagé·es mais reste très à la surface de son propos.
Dans les années 1970, une desperate housewife reprend le contrôle de sa vie lorsqu'elle est contrainte de tout quitter. La cinéaste Julia Hart porte regard mélancolique et décalé sur le “film de gangsters”.
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Jamais aussi à l’aise qu’en concert, le Berlinois Nils Frahm regarde dans le rétroviseur pour un souvenir enfiévré de sa dernière tournée.
Une collection de treize chansons imparables qui témoignent d'une maîtrise parfaite de la grammaire pop-rock.
Un album où des guitares panoramiques imaginent un live entre ciel et terre.
Le troisième volet Des jeunes gens mödernes nous plonge au plus profond de la new wave des années 1980, dont l’influence sur la pop française actuelle est plus que flagrante.
Plutôt en forme, Macca conclut sa trilogie entamée il y a cinquante ans avec un disque enregistré pendant le confinement printanier dans sa ferme du Sussex.
[Alors que Jane Birkin vient de nous quitter, nous replongeons dans nos archives.] Après un film et une pièce de théâtre, “Oh ! Pardon tu dormais…” devient l'album le plus intime de l'icône Jane B. depuis “Baby Alone in Babylone” en 1983. Un disque qui doit beaucoup à l'obstination de son coproducteur bienveillant, Étienne Daho.
Alison Mosshart et Jamie Hince sont de retour avec une compilation de demos et de raretés inédites. Un disque indispensable pour les fans.