critique
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Un troisième album à entendre comme un merveilleux voyage sonore, où le retour à la maison est éternellement différé.
Nouvel album incandescent d’un groupe hyper-aventureux, entre post-rock, ambient, noise et techno.
La reconstitution fantasmée d’une nuit d’échanges entre quatre emblèmes afro-américains. Un premier long qui déroule studieusement son programme.
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L’ode à l’électricité de l'ancien guitariste de Codeine, aussi prolixe que surdoué.
Produit par Michael Bay et tourné dans les rues désertes de Los Angeles pendant l'été 2020, ce premier film labellisé “Covid” évite de mettre en scène le seul réel affect qui a marqué notre confinement, l'ennui, au profit d'une esthétique cheap et épileptique. Un film spécial confinement, disponible depuis chez soi en VOD.
Jad Fair est de retour avec un dix-neuvième album des mythiques Half Japanese. Une très bonne pioche dans la discographie du groupe.
Sebastian Murphy, délivré de ses addictions, publie avec ses Viagra Boys un deuxième cathartique album à l'urgence moite.
Première échappée en solitaire convaincante pour le chanteur d’Efterklang. Entre Talk Talk, The Blue Nile et Spacemen 3.
Beaucoup de potentiel gaspillé par une mise en scène hésitant entre virtuosité mal placée et sursignifiance symbolique.
Deuxième virée solo pour le guitariste de Big Thief revenu à ses racines country le temps d’un disque chaleureux et réconfortant.