critique
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Après deux albums en solitaire, la tête pensante de Dirty Projectors, Dave Longstreth, lâche prise sur une série de maxis hétéroclites et décomplexés, façonnés à plusieurs mains.
Dix ans après le révéré King Night, le duo witch house revient en plus musclé pour mieux nous capturer dans sa trap.
Avec Positive Mental Health Music, Tiña plonge son indie folk dans les méandres du cerveau torturé de son leader, Josh Loftin.
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Un peu moins punk, beaucoup plus pop, The Cribs toujours au top.
Ce premier enregistrement solo sous cet alias depuis 2013 permet au suractif musicien anglais de se mettre à nu, entre post-rock, shoegaze et electronica.
Les Canadiens nous captivent une fois encore avec une poignée de titres entêtants aux sonorités krautrock et electro.
Publié en édition limitée à 1 000 exemplaires, un coffret vinyle classieux rassemble trente-deux morceaux produits durant le confinement, composés par Arnaud Rebotini et remixés par des artistes electro. Collector garanti.
Après sept ans sans album studio, l'infatigable et iconoclaste Pascal Comelade poursuit sa route, entre muzak ébouriffante et descentes chromatiques. Du “cut-up populaire”, comme il le résume fort à propos avec son accent catalan.
Alors qu’un scientifique enquête sur une disparition liée à un programme de réalité virtuelle, les frontières entre sa réalité et la simulation se troublent. Sorti en 1973, ce chef-d’œuvre méconnu contient l’essence de Matrix et nombre de films de SF à venir.
Dans “Bronx”, l'ex-flic devenu cinéaste recycle ad naudeam ses stéréotypes éculés, saturés en testostérone de flics à la morale vacillante.