critique
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
Un premier album à écouter pour s'évader dans les grands espaces et les paysages intérieurs.
Le cinéaste Ruben Alves assume un coup d’audace payant, qui implante et défend son personnage LGBT+ dans une comédie grand public.
Douze morceaux et autant de façons d’aborder l’un des plus grands tabous de notre société sur “Presents… Dead Club”. Tunng chante la mort et c’est très beau.
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
Porté par le minimalisme magnétique d'Antonio de la Torre, un film historique qui mêle l'ampleur du romanesque à une réflexion sur la dissolution d'une existence.
Avec “ADN”, la cinéaste filme une crise familiale portée par des personnages trop stéréotypés et inaboutis pour émouvoir vraiment.
Un comédien traverse une crise conjugale, professionnelle et intime. Face au marasme, il part sur la piste de son enfance. Pour ce premier long métrage, beau, drôle et émouvant, Nicolas Maury impose un regard éminemment personnel.
Crooner synthétique et ambient, le Polonais berlinois transfigures sur ce premier lp ses rêves crépusculaires avec une moitié de MGMT.
Derrière le groupe qui fête ses 20 ans, il y a désormais un seul homme-orchestre, David-Ivar Herman Dune, qui réinvente avec une épatante spontanéité la grande tradition folk américaine.
Deux ans après le démentiel Age Of, le producteur démiurge Daniel Lopatin signe un nouvel album dans lequel il poursuit sa déconstruction en règle de la pop music.
Né pendant le confinement, Vie étrange n’est pas le nouvel album de Dominique A, mais un “carnet de bord musical” documentant l’assourdissant silence printanier et publié dans la foulée d’un livre poignant en hommage à Philippe Pascal, dont il reprend L'Eclaircie.