critique
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
Deux ans après le merveilleux “Douleur et Gloire”, le cinéaste espagnol adapte librement Cocteau dans un court métrage où Tilda Swinton, amante éconduite aliénée par sa passion, apparaît plus altière et incandescente que jamais.
Incarnant respectivement Nikola Tesla et Thomas Edison, les deux acteurs, toujours brillants, s'affrontent dans une bataille politico-technologique jubilatoire.
Attendu depuis sept ans, le quatrième album de Mustang marque les retrouvailles avec la plume incisive de Jean Felzine et l’énergie revancharde d’un groupe inclassable.
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
Quand deux amies norvégiennes s'autorisent toutes les fugues et les digressions, ça donne ce premier album mutant, éloignant la pop de toute forme de classicisme.
Adepte d’une pop buissonnière teintée d’ironie, le trio français livre un troisième album délectable qui croque très joliment notre époque.
Improvisé, instrumental et inspiré, le postrock de l’orchestre canadien nous fait traverser l’Apocalypse dans son salon.
Le groupe folk-rock de Chicago fête ses deux décennies avec “The Pet Parade”, un nouvel album délicat et intimiste.
Devenu trio, l’endurant groupe de Newcastle poursuit sa route, sur un septième album réussi, entre synthpop et rock indé.
Nuancé et voluptueux : la Britannique livre avec “Flock” un album qui donne envie de passer son brevet d'aviateur afin d'atteindre le même degré de plénitude.
La chanteuse américaine revient veiller sur nous avec un quatrième album spirituel de toute beauté.