critique
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Dans la lignée de Fever, un cinquième album tout en sensualité pour les princes de la pop belge.
Seize mois après Rococo, le chanteur franco-italien offre la suite de son superbe diptyque, entre ballades lumineuses et reprise de Chet Baker.
Assignée à résidence pour cause de pandémie, la troupe néerlando-turque élargit sa formule sur un troisième album dopé à la pop synthétique héritée des eighties.
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Récupérés par le géant du straming, les deux dealers fêlés passent de la websérie au format long sans perdre leur énergie punk.
Sur “Medicine at Midnight”, un dixième album immédiatement accrocheur, la bande à Dave Grohl gagne en finesse.
Textures électroniques, minimalisme et reprises habitées : le douzième album de Tindersticks ouvre un terrain d’exploration d’une inquiétante beauté.
Le trio de Leeds conserve l'urgence punk des débuts, tout en peaufinant son art du riff et de la rupture rythmique.
Entre soul, hip-hop et zoulou, le coup d'essai d’un quatuor à l’aise avec son époque et ses racines.
Malgré un regard historique saisissant d’actualité sur les Etats-Unis, le film reste trop simpliste dans son analyse.
Sous influence zhang-keienne, Dead Pigs entrelace les destins contrariés d'individus pris dans les rouages du capitalisme chinois contemporain.
