critique
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Le duo parisien Fantomes branche des guitares pas très clean sur des amplis par très nets et refait le rock.
Dans un court métrage qui cultive le dispositif de ses films précédents, le cinéaste iranien part à la recherche d’une jeune femme à qui l'on interdit de chanter en public. A découvrir sur la plateforme de l’Opéra national de Paris.
Parallèlement à la réédition de son premier album, le groupe de Cleveland retrouve le producteur Steve Albini pour “The Shadow I Remember”, un disque bruitiste et concis.
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Sensible, envoûtant et hautement introspectif, ce sixième album folk est de ceux que l’on écoute pour oublier ce qui gronde au-delà des mélodies.
Sur un disque d’une gracieuse justesse, l'Américaine fait scintiller ses espoirs et ses doutes avec un sens de l’épure qui nous emporte jusqu’au petit matin.
Pour sa deuxième réalisation, l'héroïne opiniâtre de la série Parks & Recreation ravive l’esprit riot grrrl et secoue l’ordre social du lycée américain.
Chanteur lunaire de la pop française expatrié quelques années à Londres, Mathieu Boogaerts devient “Mathiou” sur un huitième album rafraîchissant tout en anglais, interprété avec un french accent.
Académique mais suffisamment riche en images d'archives pour captiver, un documentaire Netflix raconte la légende du footballeur brésilien.
Les Bretons signent un disque aux influences 80's, chanté pour la première fois en français.
Entre documentaire et fiction, un jeune homme renaît au monde au contact d’oiseaux blessés. Une échappée insulaire à la substance fragile et poétique.