critique
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L’adaptation en long métrage de la websérie a déclenché ces derniers mois un tollé totalement immérité pour ce film somme toute très bienveillant.
Lisse et fade, un troisième épisode qui ne parvient toujours pas à faire décoller la saga.
Après un documentaire sur Benjamin Millepied à l'Opéra de Paris (“Relève : Histoire d'une création”, 2016), le duo de cinéastes Thierry Demaizière et Alban Teurlai scrute l'univers de la danse hip-hop.
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Un troisième volet, à la fois raciste et sexiste, tout aussi indigeste que les précédents.
Dotés d’une furieuse réputation scénique qui les précède, les nouveaux romantiques de Glasgow s’appliquent à déconstruire le(s) genre(s) sur un premier album jusqu’au-boutiste et jubilatoire.
Âmes sensibles s’abstenir : l’Écossais est prêt à faire passer James Blake ou Jungle pour des artistes de fête foraine.
“Matrix” nous plonge dans un couvent médiéval du XIIe siècle, où la poétesse Marie de France intègre “une ruche” de femmes dévouées. La sororité comme lumineuse utopie.
Dans son nouveau roman, Christine Montalbetti nous entraîne dans un tourbillon de folles digressions, de la Normandie aux États-Unis en passant par le Japon. Virtuose et drôle.
Ressortie en salles d'un des chefs d'œuvre de Marco Ferreri. Drôle, vachard, cruel et prophétique.
Alors que le prix Jean Vigo, l’une des récompenses les plus prestigieuses du cinéma français, va être remis, le 11 octobre prochain pour la 70e fois, une rétrospective intégrale et restaurée par Gaumont et distribuée par Malavida de l’œuvre de Vigo, (bien) nommée "L’Étoile filante", nous restitue sa beauté, sa jeunesse, son élan inentamé, comme au premier jour.