"Jedi : Fallen Order" : le jeu qui trouve sa voix en imitant les autres

Après l'annulation de deux projets alléchants au cours de la dernière décennie et plusieurs sorties davantage axées sur les parties multijoueurs en ligne, "Star Wars” se réinvente en grand jeu d'aventure solo avec "Jedi : Fallen Order", qui puise son inspiration aux meilleures sources ("Uncharted", "Metroid Prime", "Dark Souls"...) Et aussi : un livre sur l'éditeur autoproclamé punk Devolver Digital et les années 80 dystopiques du plutôt cyberpunk "Black Future '88".

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“Shenmue III”, le jeu qui conjugue le passé au futur

Apparue en 1999, cette aventure en monde ouvert inventait l’avenir. Si, paradoxalement, son troisième volet n’a pas tenu compte des avancées des jeux que la saga a inspirés vingt ans durant, il s’en dégage pourtant un charme étrange.

“Pokémon” : la révolution attendra !

Très attendu, le nouveau double épisode de la saga vidéoludique qui a donné naissance en un peu plus de vingt ans à la franchise médiatique la plus lucrative de tous les temps apporte de réelles nouveautés, mais ces "Pokémon Epée" et "Bouclier" ne bouleversent pas pour autant l'expérience de jeu. Faut-il s'en réjouir ou le regretter ? Et aussi : deux variations irrésistibles sur les principes très à la mode du "Rogue-like" : "Sparklite" et "Children of Morta".

“Death Stranding” ou pourquoi j'ai rompu avec la star du game design Hideo Kojima

Attendu depuis plusieurs années, le nouveau jeu d'Hideo Kojima, père de "Metal Gear Solid" et superstar internationale du game design, est enfin arrivé. Lâchant le joueur dans un monde post-apocalyptique avec pour mission d'y effectuer des livraisons plusieurs dizaines d'heures durant, “Death Stranding” divise le monde vidéoludique. Le jeu en vaut-il la chandelle ? Et aussi : un triple retour dans les années 1990 avec "Romancing SaGa 3", "Aladdin" et "Le Roi Lion".

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"The Wanderer" : le superbe et déchirant retour de la créature de Frankenstein

Nouvelle et très singulière adaptation du roman de Mary Shelley, le jeu du studio parisien La Belle Games édité par Arte nous met à la place de la créature du docteur Frankenstein, qui ère à travers l'Europe en quête d'un peu de bienveillance et d'humanité. Et aussi : une virée traumatisante dans le parc d'attractions de "The Park" et la difficile vie d'un dieu du mal dans l'étonnamment stimulant "Sea Salt".

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“We Met in May” : un jeu vidéo pop et autobiographique

Un jeu doux et sensible imaginé par Nina Freeman, Jake Jefferies et Ryan Yoshikami.

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"Luigi's Mansion 3" : un sommet de la comédie d'épouvante

Dans le troisième volet de ses aventures hantées, le frère de Mario arpente en claquant des dents les étages d'un vaste hôtel grouillant de spectres et d'ectoplasmes. Follement inventif et merveilleusement mis en scène, ce jeu d'horreur pour rire est un pur régal. Et aussi : le retour en forme des "Ghostbusters" et le vertige "Manifold Garden".

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Rare ou la singulière histoire d'un studio de jeu vidéo à part

"Donkey Kong Country", "GoldenEye", "Banjo-Kazooie", "Battletoads"... Ces titres ont, avec beaucoup d'autres, fait l'histoire du studio de développement britannique Rare, que retrace dans un nouveau livre le journaliste Régis Monterrin. Un studio qui n'est plus vraiment ce qu'il était, mais dont l'esprit perdure dans des jeux comme l'épatant "Yooka-Laylee and the Impossible Lair", conçu par plusieurs de ses anciens membres.

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Classique ou moderne, le bel automne du jeu de rôle sur console

Des ancêtres “Baldur's Gate” et “Planescape : Torment” aux premiers “Dragon Quest” en passant par les rééditions d'œuvres plus récentes comme “Ni no Kuni” ou “The Witcher 3”, le jeu vidéo de rôle est omniprésent dans l'actualité des sorties. Si, d'un titre à l'autre, les propositions ludiques diffèrent largement, certaines idées traversent l'espace et le temps.

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“Untitled Goose Game” : le succès inattendu d'un jeu vidéo et d'une oie anarchique

Phénomène vidéoludique de l'automne, “Untitled Goose Game” nous confie le destin d'une oie bien décidée à perturber la vie des habitants d'un petit village. Plutôt inattendu, son succès est amplement mérité car l'œuvre du studio australien House House se révèle être une merveille d'imagination et de finesse.

Le magazine

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