critique
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Classiques sans être passéistes, les Écossais font de la mélancolie la plus belle des harmonies.
La musicienne française, toujours aussi subtile, dévoile une superbe collection d’oscillations synthétiques miroitantes.
Sociologue, après avoir été mannequin, Ashley Mears dévoile les règles de savoir-mal-vivre des élites financières mondiales dans une grande enquête ethnographique, “Very Important People”. Une plongée sidérante dans les circuits opaques des nuits dans les clubs du monde entier, où des filles et des banquiers s’enivrent avec ostentation et indécence.
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Épaulé par Cate Le Bon, l’Américano-Vénézuélien part dans une exploration synthétique autant qu’introspective.
Le quatuor revisite les codes de son identité et parachève sa mue entamée sur “Wink”, parfois aux dépens de son énergie punk.
Longtemps cantonné à des petits rôles dans des productions à l’intérêt variable, Bob Odenkirk n’a été révélé au grand public que tardivement, la quarantaine déjà bien tapée, grâce au phénomène “Breaking Bad”.
En janvier 1987, quatre ans avant que l’apartheid ne soit enfin proscrit en Afrique du Sud, Yolande Zauberman tourne clandestinement son premier film dans le pays. En 53 minutes, la cinéaste alors âgée de 32 ans, brosse le portrait d’une société gangrénée par ses lois ségrégationnistes à travers le portrait de plusieurs protagonistes.
Adèle tourne de l’œil dès que celui dont elle est éprise s’approche un peu trop. Hélas, le sujet, alléchant, n’est qu’effleuré et le cadeau promis reste dans la vitrine.
La série teen britannique, qui scrute les affres des sexualités adolescentes, ne perd rien de sa visée pédagogique et de sa volonté d’inclusion, jusqu’à se prêter à une légère autocritique.
L’auteur de “La Nuée” joue à fond la carte de l’éco-anxiété et continue à redorer le blason du film catastrophe français.