critique
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La plus légère des pièces du dramaturge, qui se déguste comme un bonbon anglais.
Certains textes ont le pouvoir puissant de changer notre regard sur le monde (et sur les carpes). Celui d’Élise Goldberg est de ceux-là.
Le Français se distingue des productions contemporaines par une écriture de chansonnier folk qui cite autant Broadcast que les Byrds.
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La musicienne-chanteuse traverse les genres sur “In nomine corpus”, un premier album à l’univers vaste et fascinant.
Neuf ans après “Barragán”, le trio arty italo-japonais revient enfin avec un LP sophistiqué. Et toujours renversant.
Le dernier film de l’ancien roi du box-office atteint des gouffres de bêtise et de mauvais goût qui le rendent presque fascinant malgré lui.
Le nouveau film du réalisateur de “Rogue One” sort sans coup férir, malgré une tessiture de grand blockbuster opératique et stylisé à la Villeneuve, auquel manque néanmoins un soupçon de magie et de vertige.
Avec une grande délicatesse, Xavier Gayan filme la vie du Clémenceau, un bar-tabac où se retrouvent gratteurs de FDJ et amateurs d’anis.
Le cinquantième film de Woody Allen, tourné à Paris, réunit un casting entièrement français. Autour de Lou de Laâge, on retrouve donc Valérie Lemercier, Niels Schneider et Melvil Poupaud. Le résultat est un nanar aussi plat que problématique.
Franc-tireur de la pop, le Parisien revient, toujours avec un univers sensible et singulier. À son image.