critique
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Le quatuor féminin est de retour avec un nouveau trésor pop plein d’inventivité. Sous les nappes des synthétiseurs, les harmonies vocales touchent l’âme sans coup férir.
La révolution n’est pas finie ! Dans une imposante “Histoire globale des révolutions”, un vaste collectif de chercheur·euses élargit l’archive révolutionnaire pour décrire par le menu la vitalité de l’élan révolutionnaire dans le monde entier depuis deux siècles.
Le dernier film de Jessica Hausner nous a laissé un sentiment proche de celui qu’on peut imaginer chez ses protagonistes : une vacuité sans fond teintée d’un certain malaise.
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En grande pompe ou en secret, le groupe de Liverpool reste au sommet de son orfèvrerie avec deux des meilleurs albums simultanés de sa discographie.
Le Roumain étrille les perversités de la mécanique néolibérale dans un collage narratif virtuose.
Dans ce huis clos où se rejoue une affaire-phare des années 1970, Arieh Worthalter et Arthur Harari sont admirables.
As de la mise en scène, le dessinateur français consigne son mal-être passé et ses frustrations dans une nouvelle série qui fait suite à son vaste “Journal”.
Grâce à un très haut niveau de pop psyché, le quatuor de Baltimore redonne foi en une musique sans concession et, plus largement, en l’humanité tout entière.
Précieux mélange de solennel et d’excentricité, de mélodies ambivalentes et de paroles mystiques, ce sixième album pose une certitude : un jour, ça n’aura pas de prix d’avoir vécu à la même période qu’Alexandra Drewchin.
Un an après la mort de l’immense musicien américain, “Pharoah” – album sorti en 1977 dans sa version originelle – fait l’objet d’une faste réédition, incluant notamment deux précieux inédits live en bonus, sous l’impulsion du label Luaka Bop.