critique
{"type":"Banniere-Haute"}
Un album présumé disparu du Loner refait enfin surface. Trop tard ?
Attendue au tournant depuis un ep impeccable en 2019, la bande de Montréal livre enfin son premier album. Un foutoir maîtrisé qui déjoue tous les pronostics.
Un film à sketches sur la vie sentimentale de Romains et Romaines qui s’inscrit dans la veine néoréaliste tout en étant traversé par la tragédie.
{"type":"Banniere-Basse"}
Précédé d’une polémique hors sujet lancée par Trump, cet affrontement farcesque et grotesque entre élite et prolos se signale par son opportunisme ricanant.
Entre reprises disparates et maîtrise mélodique, le natif de Colmar convoque amis et fantômes sur un huitième album poétique et voyageur.
Une comédie américaine qui laisse éclater tout le talent de Lauren Lapkus, une actrice qui cultive un burlesque régressif sans limites.
Sur Henri, le site de streaming de la Cinémathèque française dédié aux raretés, une plongée, à la fois onirique et documentaire, parmi la scène punk-rock parisienne.
Un huis clos dans un cockpit, le temps d'un vol détourné par des terroristes. La forme impressionne, mais on cherche encore le fond.
Les deux premiers albums du groupe toulousain reparaissent. Une petite madeleine des années 1990 à savourer.
D'Henry Mancini à Dennis Wilson, des Pet Shop Boys à Air, Etienne Daho signe dix reprises de haute volée éditées en vinyle.