critique
{"type":"Banniere-Haute"}
En ébullition, les frères Ron et Russell Mael livrent un nouveau recueil de pop excentrique.
Vingt-neuf ans sans nouvelles des frères Butler qui, au final, nous offrent un inespéré retour vers le futur.
Un premier album à la hauteur des attentes pour le Londonien qui creuse son savant mélange d'arpèges cristallins et de sonorités synthétiques.
Recevoir l’agenda de la semaine
{"type":"Banniere-Basse"}
Tame Impala, IDLES ou Greentea Peng ont répondu à l’appel du natif de Birmingham. Et c’est bon.
Entre extase et ellipses, la naissance d'une romance entre deux colocataires entravés par leur milieu ouvrier.
Film exemplaire de la période pré-Code Hays, le film d’Alfred E. Green met en scène la volonté de puissance d'une femme, Barbara Stanwyck magnifique, qui a compris que le sexe faisait tourner le monde.
Un objet visuel et sonore qui marqua les années 1990 ressort en salle opportunément tant son érotisme malaisant conserve sa puissance.
Le deuxième long métrage de David Lynch est affaire de regards : le sien bien sûr, celui que la société porte sur ce qu’elle juge monstrueux, celui déchirant de l’être difforme sur cette humanité violente, et qui contient en lui nombre de figures lynchiennes à venir.
Les errances embrumées et électriques d’un auteur multiple.
