critique
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Pour son sixième long métrage, le roi de la comédie US signe une comédie douce-amère, un film d’apprentissage et le portrait touchant d’un beautiful loser.
Le ratage d’un grand cinéaste n’est jamais agréable à voir.
Une chronique familiale agréable, quoique un peu trop sage.
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Thriller nocturne mâtiné de romance, ce premier film interpelle le plus quand il dépeint la violence des rapports sociaux et la précarité de ses protagonistes.
Paranoïa exacerbée et folie meurtrière : une traque dans le désert comme métaphore de la guerre civile algérienne, dans un premier film à la maîtrise impressionnante.
La jeunesse dorée genevoise auscultée le temps d’une soirée bercée par l’ennui et la mélancolie.
Un homme et trois femmes ou le ballet lancinant des sentiments et du temps qui passe dans un monde en noir et blanc.
L'adolescence, le sentiment amoureux, la mort, la puissance de l'écriture cinématographique au cœur de l'un des meilleurs films du cinéaste. Un film entêtant comme une chanson de l'été.
Sur une île que découvre un couple de touristes anglais, des enfants diaboliques font régner la terreur. Un film d’horreur jubilatoire.
Une fresque éprouvante qui plonge dans le quotidien d'un couple en crise à Tel Aviv.