critique
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Fanny Molins installe sa caméra dans un modeste troquet situé en Carmague et y perce avec une générosité immense la substance romanesque d'une galerie de personnages.
La réalisatrice marocaine livre un conte contemporain sur l'attachement, la maladie et la liberté.
La franchise de Keanu Reeves persiste dans son programme de beat’em all à l’épure, avec cette fois, peut-être, une légère pointe d’ironie.
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Quatrième long métrage de Sylvain Desclous – après notamment une première fiction en 2016, “Vendeur”, et un documentaire sur une élection municipale rurale en 2022, “La campagne de France” –, “De grandes espérances” mêle avec agilité la chronique politique et le thriller psychologique, dans une facture classique et maîtrisée.
Sans sensationnalisme ni victimisation, le premier film d’Emmanuelle Nicot décrit avec sobriété la mécanique complexe d'un réapprentissage suite à une relation incestueuse.
De la rencontre entre ses deux personnages, le dessinateur français François Ayroles, membre de l’Oubapo, fait une comédie rythmée, construite en miroir.
Toujours parfaite, l’actrice britannique retrouve Joanna Hogg , après “The Souvenir”, pour un récit familial tout en délicatesse, en humour léger et en nostalgie.
Cette fresque historico-politique, mêlant à la fiction des images d’archives pour coller au réel de l’époque, suit les trajectoires de trois amis d’enfance qui choisissent des chemins contraires.
Qu’ont fait ces ados, envoyés dans un camp de travail délabré au milieu de la jungle ? Un impressionnant coup d’essai, grand prix de la Semaine de la critique 2022 et riche en trouvailles formelles.
La photographe hollandaise publie “Polaroid 54/59/79” au casting impressionnant : des portraits de célébrités comme le moment où la maîtrise cède la place au lâcher-prise.