critique
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L’héroïne de “Rien à foutre” éclaire cette étude de la justice restaurative lestée par une mise en récit artificielle.
Un drôle de périple qui croise scènes de la vie conjugale et mélancomédie vacancière.
Un road movie qui examine avec fougue le spleen d’une jeunesse urbaine assoiffée de fougue et de romanesque.
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Une quête fantasque qui ne fera frissonner que les fans de têtes couronnées.
23 ans seulement, et déjà la Nazairienne impressionne par ses mélodies, son esprit, son sens du beat.
Joris Goulenok met en scène, à l’intérieur de plans fixes, des humain·es incarnant des chiens qui traînent leur ennui existentiel. Une série au burlesque très épuré.
Islande, 1983. Suite à l’instauration par l’État de quotas pour faire face à la surpêche, seuls les navires auxquels on en attribue peuvent désormais continuer leur activité. Trésor immémorial du pays, la mer et ses richesses deviennent par conséquent la propriété d’une minorité de privilégié·es.
La jeune artiste polonaise, dont la photographie est élargie à la performance et à la scénographie, présente au BAL à Paris une réflexion doucement dérangeante autour des structures de pouvoir qui informent les espaces domestiques et les rapports intimes.
La nouvelle création très touchante de Laura Shigihara (“Rakuen”) et le facétieux puzzle game de Daniel Benmergui tirent parti de la capacité du jeu vidéo à raconter des histoires.
Créée par Janine Nabers et Donald Glover, cette virée délirante et sanglante s’inscrit dans le prolongement stylistique d’“Atlanta”, mais est écrasée par ses effets de manche et la gratuité de son dispositif narratif.