critique
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La showrunneuse d’“Unorthodox” fait ici le récit en sept épisodes du sauvetage de 2 000 personnes menacées en France par le nazisme, dont de nombreux·ses intellectuel·les et artistes. Une fresque historique qui sait se montrer émouvante sans se départir d’une certaine légèreté de ton.
Adama Diop incarne un Othello aussi bouleversant d’humanité qu’impérial en général vénitien aux côtés d’un Iago retors sous les traits de Nicolas Bouchaud. Le tragique se conjugue aux rires pour déconstruire les mystères du monument shakespearien.
Comment écrire et publier librement dans un Iran contemporain où la censure fait rage ? Les textes de Mahsa Mohebali, Nasim Marashi et Aliyeh Ataei, traduites en français pour la première fois, témoignent de leur courage.
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À Lafayette Anticipations, cette ambitieuse fresque transhistorique aborde le rituel, le sacré et la recherche de pratiques artistiques palliatives à travers les âges, les époques, les domaines de la création.
Le strip-tease pour l’argent, puis par plaisir, dans un conte moderne au regard bienveillant.
Facétieuses et solaires, les douze chansons qui composent “La Maison magique” révèlent un premier album ravissant.
Martin Bourboulon dépoussière avec brio ce classique de cape et d’épée, sans surplomb ni distance excessive.
Quels souvenirs gardons-nous des débuts ? La philosophe pense dans un essai brillant ces étincelles, coups de foudre et autres révélations intérieures, et c'est poignant.
Dans “Acting Class”, son troisième roman graphique, l’Américain livre un jeu de rôles glaçant qui tourne à la manipulation mentale, et ne laisse pas indifférent·e.
Sous l’influence de “Zelda : Breath of the Wild” mais avec une personnalité bien à lui, le jeu du studio Awaceb ose l’épopée sensuelle, mystique et politique.