critique
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Au XIXe siècle, comment des ouvrier·ères soumis·es aux cadences du capitalisme industriel envisagent un nouvel ordre possible.
Sous le soleil des Açores, des ados apprivoisent leur identité et leur fragilité… Une réussite à la beauté étonnante.
Comment réinventer une relation, une existence ? Dans un précipité virtuose des thèmes qui lui sont chers, le réalisateur raconte un retour à la vie par le prisme de l’amnésie.
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John Francis Daley et Jonathan Goldstein signent un délicieux nanar XXL, qui injecte burlesque et tendresse à la saga d’heroic fantasy. Jouissif.
Ce jeu vidéo enchanteur met en scène l’épopée d’un Petit Chaperon rouge en cosplay sorcière et de son doudou, tous deux plongés dans une série d’aventures plastiquement superbes.
Alors que le CDNO pourrait tout bonnement disparaître et se mobilise pour sa survie, sa future ex-patronne, Séverine Chavrier, y met en scène “Aria da Capo”, avec les confidences de quatre ados déchiré·es entre amour de l’art et désir de vivre.
Dans ce seule-en-scène aux allures de “Cluedo”, l’artiste ne tombe les masques que pour en révéler d’autres, dans une grande boucle du mensonge.
Vingt-cinq ans après sa première série, Lars von Trier s'enlise dans une suite aux airs de cloaque qui devrait surtout plaire aux fans.
Le féminisme contemporain s’est emparé de cette question universelle, qui irrigue la réflexion de l’autrice-documentariste.
Deux ans après leur douloureuse renaissance, les Rennais de Marquis de Sade reviennent marquer l’Hexagone de leur rock fiévreux.