critique
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Peut-on être encore moderne ? Oui, répond Philippe Forest dans un essai qui rappelle combien, malgré son éclipse supposée depuis quarante ans, la modernité reste un horizon politique et formel pour le roman contemporain.
Porté par des beats incisifs et d’attachantes trouvailles sonores, le second album de la multi-instrumentiste française vole très haut.
En revisitant un tremblement de terre qui, en 1976, ruina la région italienne du Frioul, l’écrivaine allemande touche au tangible et à l'intangible d’une catastrophe pas tout à fait naturelle.
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Insatiables, les Français accueillent quelques guests précieux sur un cinquième album entre boom-bap, soul et tropicalisme.
Récit de fantômes qui convoque la sorcellerie et les croyances, ce premier film portugais sublime autant le territoire et la culture qu'il filme que le propos qu'il engage autour de ce qui se transmet de femme en femme.
La quatrième et dernière saison de la série sur les magnats des médias a atteint son plus haut point émotionnel avec la mort de l’un des personnages principaux. Attention, spoilers !
Entre néo-noir et regard sur le sacrifice parental, un film géorgien porté par un classicisme élégant.
Après une série de maxis d’obédience new-yorkaise l’installant dans le paysage du rap français, le rappeur gabonais publie son tout premier album “La Grande désillusion”, à rebours des codes du mainstream.
La recette psyché-pop des Anglais commence à sentir le réchauffé. De l’exotique un peu toc en dépit de quelques belles envolées.
Dans “Plutôt vomir que faillir”, la performeuse met en scène avec empathie des ados mal à l’aise dans leur corps, leur sexualité, leur famille, et vivant les événements banals de la vie avec une intensité tragique et comique.