critique
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Kirill Serebrennikov, Annabel Guérédrat, Myriam Marzouki et Sébastien Lepotvin, Arnaud Desplechin… Voici notre sélection de spectacles à voir cette semaine.
À grande série, grande conclusion. Le season finale de “The Last of Us” a tenu toutes ses promesses, et conclut une série savamment conçue de bout en bout, à la fois hautement fidèle au chef-d'œuvre du jeu vidéo qu'elle adapte et ingénieuse dans les libertés qu'elle s'autorise. Notre bilan avec spoilers.
Dans un texte bref, Bertrand Schefer métamorphose son obsession pour la photographe américaine Francesca Woodman en portrait de ses propres tourments. Performance vaudou et style vertigineux.
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Éric Chevillard signe un texte loufoque sur un narrateur qui perd sa vie à tenter d’écrire. Au-delà de la prouesse stylistique, l’auteur de “L’autofictif” évoque avec mélancolie le temps qui passe
Plus personnelle et toujours mélancolique, la nouvelle rêverie du trio suédois captive, toujours portée par la voix éthérée de Marleen Nilsson.
Sortie sans grand bruit à l’automne sur Netflix, cette superproduction guerrière a gagné quatre Oscars dont celui du meilleur film étranger.
À la tête d’une trop brève filmographie, Michael Roemer fait partie de la liste des cinéastes qui auraient dû jouer un rôle bien plus crucial que ce ne fut le cas. Aujourd’hui, alors que trois de ses films ressuscitent enfin, on prend la mesure de leur importance dans l’histoire du cinéma indépendant américain.
Dans une enquête documentant précisément l'histoire de l'institution depuis sa création, “Sciences Po, l’école de la domination”, le journaliste et ancien collaborateur des Inrockuptibles Mathieu Dejean analyse un espace de formation au pouvoir où se diffuse l’idéologie dominante.
Après “Papicha”, Mounia Meddour n'échappe pas aux écueils du deuxième film.
Le chanteur et électronicien moustachu clôt brillamment sa trilogie temporelle en se projetant dans le futur tout en restant aussi inventif qu’onirique.