critique
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Invités par le Hangar Y sur les collines de Meudon, le Perchoir et Guillaume Sanchez misent sur la simplicité avec une carte conventionnelle brillamment exécutée. Comme quoi, pas besoin de faire compliqué pour épater le palais.
Pour sa 42ème édition, le festival qui devance les grands raouts estivaliers a comblé tous les publics par ses choix esthétiques, notamment en matière de créations. C’est aussi là que s’étaient donné rendez-vous nombre de professionnels de toute la planète jazz afin de découvrir un panel de projets français, confirmant la place axiale de Jazz sous les pommiers dans le paysage hexagonal.
Aki Kaurismäki nous ensorcelle de nouveau avec cette histoire d'amour drôle et touchante.
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Les frères Mael nous emmènent au firmament de la pop avec les envolées lyriques de “The Girl Is Crying in Her Latte”. Ébouriffant.
Malgré un Benoît Magimel qui réveille avec éclat les réminiscences de son rôle dans “Pacifiction”, un buddy movie sans grande consistance.
Un film de procès et beaucoup plus qu'un simple film de procès. Magnifique et haletant, de bout en bout.
Des enfants tentent d'outrepasser le code parental de leur console et c'est tout un monde merveilleux qui s'ouvre. Le premier film de Weston Razooli nous replonge en enfance, quand tout était encore possible.
Une actrice débarque chez celle qu'elle va interpréter à l'écran. À mi-chemin entre du Claude Chabrol et du John Waters, le nouveau long-métrage de Todd Haynes, présenté en sélection officielle, est un bijou de subtilité et d'humour.
Après un long silence, Michel Gondry est de retour sur la Croisette avec un film qui légitime les comportements toxiques pour l'amour de l'art.
Premier long de Ramata-Toulaye Sy, “Banel et Adama”, raconte l’histoire d’un amour fou dans un petit village du Sénégal. Une passion à l’épreuve des traditions.