critique
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Une analyse du couple menée avec intelligence, mais qui reste hélas un peu froide.
En première mondiale au Festival de Cannes, le nouveau film très attendu de Martin Scorsese ne nous a pas déçu. Leonardo Di Caprio, en roue libre, un peu plus.
[Cannes 2023] “Eureka”, le projet ambitieux de Lisandro Alonso désole avec un film plat et maladroit
L'auteur du très beau “Jauja” nous déçoit avec un nouveau film trop fabriqué sur la condition d'autochtones d'Amérique sur plusieurs continents.
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Dans un film cathartique d’une grande richesse, la cinéaste raconte le déclin d’un pays et son héritage de violence misogyne.
À Buenos Aires, deux employés de banque font le rêve impossible de braquer le coffre-fort et de ne plus jamais travailler. Une ode à la désobéissance assez jubilatoire.
Nuri Bilge Ceylan maîtrise son art comme personne, mais nous exaspère avec sa vision des humains désespérante et complaisante.
En redonnant naissance au personnage de Conan le Barbare qu'il projette dans un corps féminin, Mandico fait sauter les limites de son cinéma et nous fait vivre une expérience de jubilation immense.
Minimaliste, atmosphérique et glaçant, un film sur l’Holocauste magistral par le réalisateur de “Under the Skin”. Un premier choc en compétition officielle.
Le réalisateur Sean Price William propose un long-métrage picaresque et décalé sans se prendre au sérieux.
Un film d'époque sans grande inspiration sur le destin d'une “femme à barbe” à la fin du 19e siècle réveillé par la flamboyante vitalité de Nadia Tereszkiewicz.