critique
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Caméra d'or 2023, le premier long-métrage de Pham Thien An nous plonge au cœur de la montagne vietnamienne. Un cinéaste à suivre.
Le cinéaste sud-coréen, de retour à Cannes quinze ans après “Le Bon, la Brute et le Cinglé”, signe une délicieuse satire sur la recherche de virtuosité.
Vingt chansons pour résumer une discographie pléthorique et le génie incomparable de l'auteur-compositeur-interprète auvergnat. Qui, tristesse du calendrier, paraît au lendemain de sa disparition soudaine.
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Le réalisateur signe sa meilleure fiction en poétisant le quotidien modeste d'un homme japonais, malgré quelques clichés.
Catherine Breillat frappe fort avec son “Été dernier”, l'histoire d'amour interdite entre une avocate et son beau-fils de 17 ans.
Dix ans après sa mémorable mixtape, le Landais Pierre Loustaunau en offre une suite éclectique et toujours aussi inspirée.
Le musicien camerounais trouve le ton juste pour mettre en sons ses préoccupations écologistes et fait de l’électronique un écrin pour sa voix sublime.
Présenté en clôture de l’ACID, le long métrage de Sana Na N’Hada est une sublime expérience de cinéma qui nous mène en Guinée-Bissau, au début des années 1970, en pleine guerre d’indépendance.
De l’air du temps au temps qui passe, (auto)portrait d’un cinéaste névrosé tantôt fantaisiste, tantôt émouvant, porté par une bande-son pop.
Un beau geste de cinéaste en train de se raconter dans un film conçu en collectivité.