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Avec “Something Old, Something New, Something Borrowed”, présenté à la Quinzaine des cinéastes, Hernán Rosselli réinvente le film de famille et de gangster.
Attendu à Cannes comme le messie, Coppola signe avec “Megalopolis” un autoportrait désarmant autant qu'une fable politique hyper-contemporaine.
Parce que le festival propose des films issus d’horizons (géographiques, économiques) plus divers que n’importe quelle autre manifestation au monde, à Cannes plus qu’ailleurs, les films créent entre eux des jonctions poétiques surprenantes, des rapprochements inattendus.
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Dans “Les Fantômes”, premier long métrage hypnotique de Jonathan Millet, Adam Bessa impressionne dans la peau d’Hamid, espion syrien à la poursuite de son bourreau dans un Strasbourg crépusculaire. Rencontre avec un jeune comédien habité.
La fête de la Quinzaine prend des allures de séminaire d'entreprise, le glamour est mort, il ne reste plus qu'à danser en famille.
Deuxième réveil sur la Croisette et début de la véritable aventure cannoise et son rythme effréné.
L'exil d'un jeune maghrébin chapitré sur dix ans dans un mélodrame aussi élégant que foudroyant de beauté.
Un film de guerre tout en soustraction, qui décrit avec une sensorialité saisissante les temps morts d'un conflit armé.
Un western contemporain enlevé et galvanisant.
Présenté à Un Certain Regard, “Le Procès du chien”, premier film réalisé par Lætitia Dosch, raconte avec beaucoup d’humour l’histoire d’une avocate suisse haute en couleur défendant au tribunal le cas d’un chien d’aveugle, qui pour avoir mordu une femme au visage, menace d’être piqué. En défendant le statut du chien et son droit à échapper à la peine de mort, Lætitia Dosch ouvre des questions plus générales sur notre rapport aux autres êtres vivants.