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[Cannes 2024] “La Prisonnière de Bordeaux”, Patricia Mazuy signe un film noir profondément politique
Un film complexe, romanesque et passionnant sur la lutte des classes.
Dans un festival par ailleurs assez queer, Jacques Audiard accomplit une déconstruction de son propre cinéma à travers l’intinéraire d’un personnage trans M to F.
Quand les soirées ne veulent soudain plus de nous, et qu'il est temps de s'échauffer pour les 10K de Cannes.
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Le réalisateur de “Donbass” chronique son pays en guerre dans un docu ample et saisissant.
En déroulant par le menu le réveillon de Noël d’une famille de la middle class américaine, cet espoir du ciné indé prolonge le geste nostalgique de son premier film, le fabuleux “Ham on Rye”.
Paul Schrader revient en compétition à Cannes pour la première fois depuis 1988, avec une méditation aussi retorse qu’épurée sur les méandres de la mémoire, le pouvoir de la captation et les illusions d’une vie qu’on croit réussie.
Un·e invité·e se dévoile en répondant à nos questions indiscrètes. Aujourd’hui, l’actrice Anna Mouglalis, à Cannes pour “La Mer au loin” de Saïd Hamich Benlarbi, présenté en séance spéciale à la Semaine de la critique.
Alpes suisses, 1900 : dans un monde où tout n’est qu’interdits, une jeune fille découvre sa sexualité comme une mystique libératrice, où les corps communient avec la nature.
Une fable écologique originale, par l'auteur de “Ma vie de courgette”.
Avec ce récit en trois parties distinctes sur l’impossibilité de la liberté, Yórgos Lánthimos offre un successeur un peu sec à “Pauvres Créatures”, mais un vrai terrain de jeu pour ses acteur·rices.