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Un·e invité·e se dévoile en répondant à nos questions indiscrètes. Aujourd’hui Rossy de Palma, muse iconique d’Almodóvar.
Durant son sixième jour sur la Croisette, la rédaction a fait de nombreuses rencontres mais a aussi eu un vrai coup de cœur pour le nouveau film de Jia Zhangke.
Un conte moderne indigeste sur le vieillissement, dangereusement conforme à un certain (mauvais) goût festivalier.
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Si cette 77e édition est marquée par la révélation de nombreux talents éclatants, il a aussi permis de découvrir les œuvres tardives de quelques grands maîtres aux stratégies très singulières.
Désir, polar, jalousie et fricassée aux champignons s'accordent dans le nouveau film de l'auteur de “Viens je t'emmène”.
Rencontre express sur la terrasse d'un palace cannois avec deux actrices et non des moindres. Isabelle Huppert et Hafsia Herzi jouent dans le très beau “La Prisonnière de Bordeaux” de Patricia Mazuy présenté à la Quinzaine des Cinéastes. Huppert y interprète une femme bourgeoise qui accueille chez elle une jeune femme (Herzi), issue d'un milieu populaire, et ses enfants. Leur point commun ? Leur mari est en prison.
Deux cinéastes se retournent sur leur propre œuvre avec des objectifs et des effets divers : Leos Carax et Jia Zhangke
Chine, début des années 2000. En suivant le destin amoureux de son héroïne de toujours, Zhao Tao,Jia Zhangke livre une épopée filmique unique et plus de vingt ans d’histoire d’un pays en pleine mutation.
Ou il est question d'un t-shirt Jurassic Park, d'une vodka mule volée et de Bilal Hassani.
Au programme de ce cinquième jour à Cannes : des films, des interviews exclusives, des films, les confidences d'Anna Mouglalis et... encore des films.