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À travers une histoire délirante, une vraie question : l'être humain a-t-il le droit de condamner un animal à mort ?
Kevin Costner signe une grande fresque western dont l’envergure romanesque compense les lourdeurs de détail.
Le cinéaste canadien octogénaire revient avec un film de deuil et de fantômes, où les vivants observent les morts pendant qu’ils se décomposent. Un autoportrait plein d’élégance.
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Cinq ans après “Deceiver”, le quatuor de Brooklyn ralentit le shoegaze pour illustrer en musique le lent effondrement de notre société post-internet et la résilience d’un groupe-phénix sans cesse renaissant.
En proposant à l'actrice d'interpréter son père, Christophe Honoré offre à Chiara Mastroianni, un rôle bouleversant qui se pose comme un second acte de naissance.
Avec “Septembre sans attendre”, Jonás Trueba fait son entrée à Cannes du côté de la Quinzaine des cinéastes avec une comédie de remariage aussi stimulante que bouleversante.
Le réalisateur brésilien signe un second long métrage sur la jeunesse LGBTQI+ de São Paulo à travers la rencontre entre Wellington et Ronaldo.
Et s'il n'y a pas qu'un chroniqueur nuit aux Inrocks ?
D’abord pensé sous la forme d’une série avant d’être coproduit pour le cinéma par Saint Laurent Productions, le nouveau film de l’auteur de “Crash” propose une approche aussi novatrice que troublante du deuil et décrit un monde en proie aux théories du complot.
Derrière le biopic convenu sur l'ascension immobilière de Donald Trump, un film de genre plus audacieux.