Cinéma
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S'il fallait cartographier la France en fonction du nombre d'entrées enregistré par les salles de chaque ville, Cannes serait aujourd'hui une mégalopole à elle seule. État des lieux d'une situation qui commence à s'installer sur un inquiétant long terme.
Le jury présidé par Kaouther Ben Hania a donné son verdict ce mercredi 25 mai, mettant un terme à la 61ème Semaine de la critique.
Qu’il ait été pour nous bouleversant ou hilarant, on sort de ce huitième jour cannois le cœur rempli d’amour pour le septième art, notamment grâce à deux films : “Tori et Lokita” et “Feu follet”. À retrouver également : une interview de Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne.
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Vingt-sept ans après “L’Amour meurtri”, Mario Martone manque son retour sur la Croisette avec “Nostalgia”, drame trop plat pour bouleverser.
Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, ce premier film sur un jeune dessinateur de BD se ré-approprie avec talent les codes d’un certain cinéma indépendant U.S. du tournant 2010.
Avec “Feu follet”, présenté à la Quinzaine des réalisateurs, le cinéaste portugais João Pedro Rodrigues signe le film le plus impétueux et tonitruant du festival.
Trois après leur dernier passage en compétition pour “Le Jeune Ahmed”, les réalisateurs belges dévoilent un film émouvant sur deux jeunes exilés béninois.
Le réalisateur de “La Loi de Téhéran” finit par lasser avec ce troisième long-métrage surexplicatif.
Avec son troisième long-métrage, présenté dans la section Un Certain Regard, le réalisateur islandais apporte un sursaut d'audace à ce 75ème festival de Cannes.
Pour son quatrième long métrage en tant que réalisateur, Louis Garrel trouve son endroit et signe son œuvre la plus libre et maîtrisée.