Cinéma
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À Buenos Aires, deux employés de banque font le rêve impossible de braquer le coffre-fort et de ne plus jamais travailler. Une ode à la désobéissance assez jubilatoire.
Nuri Bilge Ceylan maîtrise son art comme personne, mais nous exaspère avec sa vision des humains désespérante et complaisante.
En redonnant naissance au personnage de Conan le Barbare qu'il projette dans un corps féminin, Mandico fait sauter les limites de son cinéma et nous fait vivre une expérience de jubilation immense.
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Un an après “Les Amandiers”, la comédienne refait sensation au Festival de Cannes dans un rôle aux genres troubles.
Dans une tribune publiée ce mardi 16 mai, le jour de l'ouverture du Festival de Cannes, 500 cinéastes dénoncent les ingérences de l'industrie du cinéma, qui s'apparentent à une forme de censure.
Minimaliste, atmosphérique et glaçant, un film sur l’Holocauste magistral par le réalisateur de “Under the Skin”. Un premier choc en compétition officielle.
Au troisième lever de soleil à Cannes, la compétition ne s’est toujours pas décidée à sortir le gros lot. Direction Un certain regard alors, où Thomas Cailley a décidé de secouer le cinéma français avec son “Règne animal”.
Le réalisateur Sean Price William propose un long-métrage picaresque et décalé sans se prendre au sérieux.
Le film d’ouverture du Festival de Cannes sortait en simultané sur tous les écrans français. Avec une avant première le mardi soir diffusée sur 781 copies (!), le film s’offre un bon démarrage, pas mirobolant pour autant.
Le dernier opus de la célèbre saga, réalisé par James Mangold, livre une mise en scène monotone, sans grand intérêt.