Arts & Scènes
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Une compile de raretés pop francophones, de l’art mathématique, du documentaire à découvrir en ligne, un hôtel pour les frustré·es des salles obscures et la cinégénie des aéroports à explorer sans visa.
Racontée par téléphone par ses médiatrices, l'exposition Qalqalah قلقلة : plus d’une langue, second projet de la plateforme éditoriale et curatoriale du même nom, déploie une réflexion sur la traduction et le multilinguisme comme vecteurs de désidentification.
Alors que l’effet boule de neige de l’occupation des théâtres à Paris et partout en France prend de l’ampleur, Nicolas Dubourg, président du Syndeac (Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles) et directeur du théâtre La Vignette de l’université de Montpellier, réagit aux nouvelles mesures annoncées par le gouvernement le 11 mars pour soutenir la culture. Il appelle en outre à une mobilisation le week-end du 20 mars.
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A travers le parcours de trois amis, tous pianistes virtuoses, Jean-François Sivadier tisse une fresque romanesque où, dans un jeu d’équilibre délicat, chacun évoque sa conception du monde.
Faute de présenter au public son Dekalog, adapté de l’œuvre-monde de Krzysztof Kieślowski, Julien Gosselin le transforme en expérience filmique et crée un objet hybride et singulier.
En réponse à l’appel des occupant·es du théâtre de l’Odéon, des élèves comédien·nes font entendre leurs revendications au théâtre de la Colline.
L'acteur Samuel Churin, membre de la Coordination des intermittents et précaires, participe à l'occupation du théâtre de l'Odéon, à Paris, depuis le jeudi 4 mars. Alors que de plus en plus de salles de spectacle sont investies de la même manière dans toute la France, il analyse et précise les revendications d'un mouvement qui prend une ampleur inédite.
Depuis jeudi 4 mars, une cinquantaine d’intermittent·es du spectacle occupent le théâtre de l’Odéon, à Paris. Ils et elles souhaitent la réouverture des lieux culturels, la prolongation de “l’année blanche” sine die ou encore l’abandon de la réforme de l’assurance chômage, délétère à la fois pour le secteur culturel mais plus généralement pour l’ensemble des travailleur·euses.
La Jolie Môme compilée, un chorégraphe à la télé, un beau livre qui rend justice aux femmes cinéastes, des films sauvages et la jeune garde de la photographie européenne à découvrir en ligne.
En résidence à Triangle France - Astérides à la Friche la Belle de Mai, Mégane Brauer adresse les questions de classe et de pauvreté par un travail d’installation et d’écriture d’une justesse mordante.