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Conçu par un tout jeune studio allemand et édité par Arte qui poursuit son quasi sans-faute en matière de jeux vidéo, "Vectronom" est une merveille de jeu de rythme, subtil et entêtant, souvent (très) ardu mais jamais décourageant. Pour venir à bout de ses niveaux mutants, une seule option : se laisser guider par la musique électro et faire danser nos doigts dans le bon tempo.
Longtemps abonné aux rôles (très) secondaires alors que le singe, le renard, le hérisson et même le ver de terre connaissaient leur heure de gloire, le chat est enfin sorti de son purgatoire vidéoludique, comme le prouve encore l’excellent Gato Roboto qui vient de paraître. Mieux : de Neko Atsume à Little Friends en passant par Cat Quest, MagiCat ou Super Phantom Cat, les petits félins sont presque soudainement devenus omniprésents. Et ça ne fait peut-être que commencer.
Après avoir longtemps négligé ses productions passées au profit d'une course incessante à la nouveauté, l'industrie du jeu vidéo a découvert les bienfaits des rééditions et remasterisations. Une forme de paresse, jugent certains. Et si on avait au contraire tout intérêt à (re)découvrir ces jeux aujourd'hui ? En voilà quatre, sortis entre le milieu des années 2000 et le début des années 2010, qui méritent plus que jamais le détour.
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Un frère et une sœur fuient l'Inquisition dans la France du XIVe siècle sur fond d'épidémie de Peste Noire. Tel est le point de départ du nouveau jeu du studio Asobo, le plus ambitieux qu’il ait jamais produit. Tragique et cruel mais aussi, par moments, miraculeusement lumineux, “A Plague Tale : Innocence" est un jeu prodigieux.
Fraîchement adapté sur la Switch, “The Swords of Ditto” n’est pas qu’une variation pleine de charme sur les principes de la saga “Zelda”. C’est aussi un digne représentant d’un genre prisé des développeurs de jeux vidéo indépendants : le “Rogue”-like. Un genre dont l’origine remonte au début des années 1980 mais qui n’avait jamais été aussi en vogue qu’aujourd’hui.
A l'occasion de la sortie de "Pokémon : Détective Pikachu", premier long-métrage live-action d'une franchise tentaculaire, retour sur la success story de ces petites créatures kawaii, sorties des entrailles d'une console portable, avant de conquérir la planète.
Alors que sort la réédition de Final Fantasy VII, deux livres tentent de disséquer le jeu vidéo au succès hors normes qui imposa à l’Occident une nouvelle façon de jouer.
En 1992, “Mortal Kombat” faisait scandale pour sa violence débridée (têtes qui volent, colonnes vertébrales arrachées, sang à volonté). Vingt-sept ans plus tard, non seulement le plus gore des jeux de baston est toujours là, mais “Mortal Kombat 11” pourrait même bien être le meilleur épisode de la saga. Et si c’était aussi le jeu le plus intelligent du moment ?
Très attendu depuis son passage triomphal sur Kickstarter, “Trüberbrook” nous emmène dans un village allemand des années 1960 à la population pour le moins étrange. Naviguant entre l’inquiétante étrangeté et la science-fiction avec humour, cette œuvre au style graphique unique perpétue joliment la tradition du jeu d’aventure “point & click”.
La sortie du dernier jeu d’Hidetaka Miyazaki, “Sekiro : Shadows Die Twice”, enflamme les réseaux sociaux sur le sujet de la difficulté. Doit-on pouvoir finir un jeu ? Cette question n’est pas près d’être tranchée.