édito
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Le cinéma a, plus d’une fois, mis en images la danse. Mais il semble moins à l’aise dès qu’il s’agit des danseur·ses. Pour un magistral Mikhaïl Barychnikov rejouant son échappée belle ou une Moira Shearer magnifiée par la caméra de Michael Powell et Emeric Pressburger, combien de solistes condamné·es à errer d’une séquence à l’autre ?
Depuis les deux récents singles de Beyoncé, plus de doute possible : la country fait bel et bien l'objet d'un retour de mode.
Sur le grand ou le petit écran, la figure mystérieuse et mythique de Truman Capote continue de fasciner les cinéastes. 40 ans après sa mort, comment représenter aujourd'hui cette légende ?
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Alors que des montagnes du cinéma français sont en train d’être renversées, comment imaginer une suite vertueuse aux révélations récentes de Judith Godrèche et d’autres femmes ?
“Lieu de création artistique et d’engagement”, la Gaîté Lyrique “nouvelle formule” imbrique sa vocation artistique et musicale à la volonté d’en faire un laboratoire politique du temps présent.
Deux séries, sorties à quelques semaines d'écart, mettent en scène des personnages en lutte avec une homophobie intériorisée se diffusant au-delà de leur simple cercle intime.
Hisham Matar est encore trop méconnu en France, et pourtant, il s’est imposé ces dernières années en Angleterre comme une voix qui compte. “The Return: Fathers, Sons and the Land In Between”, son enquête en Libye sur les traces de son père, opposant à Kadhafi disparu dans les années 1990, a obtenu le prix Pulitzer 2017.
Taylor Swift est-elle un agent infiltré pour faire basculer la prochaine élection présidentielle américaine en faveur des démocrates ?
Faut-il les boycotter ? Refuser qu’ils et elles apparaissent en public, voire parrainent des festivals, coordonnent des numéros de revue, etc ? En faire dès lors les martyrs d’une “censure” de gauche ? Faut-il confondre défense de la liberté d’expression et défense de leur liberté de propager des idées haineuses, anti-démocratiques, racistes et antisémites ?
Découvrir, redécouvrir, penser, passer : voilà la vocation des “Inrockuptibles”, et de notre numéro de février.