édito
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Les héros et héroïnes de cinéma n’ont plus que la vengeance en tête. Qu’est-ce que cela peut bien dire de nous ?
À quelques jours du premier tour des élections législatives, où en sont le monde de la culture et les artistes qui le composent ?
En ces temps troublés, sombres et incertains, quoi de mieux qu’un alunissage pour oublier (un peu) cette très mauvaise science-fiction, qui se déroule sous nos yeux effarés depuis le 9 juin au soir ?
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Les Inrockuptibles s’intéressent depuis toujours aux gestes artistiques secouants, dérangeants, bouleversants ; aux œuvres qui constituent un contre-discours face à la norme, et participent ainsi à faire changer les mentalités, la société. À ce que l’on n’attendait pas, à ce que l’on ne connaissait pas, à l’innovation, à la créativité, à l’audace, à l’insolence.
Le résultat des élections européennes a eu un effet tétanisant. Propositions de lectures pour se décoincer les idées.
Après une série de blockbusters commercialement décevants qui risque de se poursuivre cet été, les salles françaises tirent encore un peu plus la langue. Qui sauvera le cinéma ?
Les idéologies d'extrême droite sont systématiquement défavorables aux femmes et aux personnes LGBTQI+. Jordan Bardella et le RN ne font pas exception.
Les attentats terroristes de 2015, la réforme sur les retraites imposée par le gouvernement Macron… Plusieurs raisons ont été avancées pour expliquer une telle victoire de l’extrême droite aux élections européennes.
Avec le festival Corps en mouvement, la Colline des arts propose de poser un regard artistique sur nos muscles et notre chair avant de plonger dans la folie des JO.
En Une du magazine d'extrême droite “Causeur”, l'actrice Fanny Ardant défend “l'honneur de Roman Polanski” et tire à boulets rouges sur celles et ceux qui dénoncent des violences sexistes et sexuelles.