Critiques
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Deuxième réalisation du stand-upper Kheiron, qui ressemble à un long sketch raté.
Le troisième album du rappeur d’Aubagne revisite le mythe du mafieux. Sombre, dense et romanesque, JVLIVS est la bande originale idéale d’un malaise existentiel.
Quarante ans après Equinoxe, Jean-Michel Jarre finalise son diptyque avec cet album fascinant, entre espoir et dystopie. Rencontre avec le parrain de l’electro.
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Le premier album très inspiré d’Oktober lieber infuse de la lumière et du second degré à la techno boum boum. Un dynamitage en bonne et due forme.
Onze ans après la sortie de son premier album, The Good, The Bad & The Queen revient avec un vibrant hommage à l’esprit britannique pré-Brexit, porté par le cerveau bouillonnant de Damon Albarn.
La moitié d’Aufgang se livre avec virtuosité à un passionnant corps-à-corps avec le piano.
Troisième album de Jordan Lee aka Mutual Benefit et une confirmation : le folk de l’Américain, pur et orchestral, fonctionne à l’énergie solaire.
Il aura fallu treize ans pour que Pierre Bergé accepte la sortie de ce docu sur les dernières années d’Yves Saint Laurent. Le voilà enfin, fascinant, beau et magique.
Tourné en 1970, inachevé, et monté quarante ans après sa mort par le monteur de Kathryn Bigelow, une étrangeté signée Welles, dont l’inachèvement est le motif ultime. A voir sur Netflix.
Un beau documentaire sur le quotidien de quelques lycéens, entre tourments personnels et solidarité collective.