Critiques
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Le réalisateur de "Twelve Years a Slave" se déprend un peu de son goût pour l’emphase et le pathos, au profit d’un film de casse au féminin astucieux et stylé.
En Chine, la sublime rencontre entre un réalisateur, sa caméra et un quartier pauvre en destruction.
Un centre d’art menacé par l’arrivée d’un théâtre branché. Malgré un pitch qui ne mange pas de pain, ce film révèle une vraie patte et une méthode Wang.
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La splendeur plastique propre à la cinéaste est cernée par un verbiage explicatif envahissant. Inégal mais avec de beaux éclats.
Un conte de Noël délesté de toute mièvrerie afférente et empreint d’une coolitude swag bienvenue.
Le voleur au grand cœur reprend du service dans une adaptation de moyenne facture mais hautement moderne via ses critiques politique et sociale.
Le déclassement et la renaissance d’une sexagénaire (magnifique Ana Brun) comme allégorie de la bourgeoisie uruguayenne à l’agonie.
La paranoïa est dans le pré. Encore un film rural qui déçoit par son épilogue fantastique un peu facile.
Une Inuit part travailler dans une mine de diamants plongeant ses parents dans un grand désarroi.
Prolongeant la tradition du duo amoureux, de Gall-Berger à la french pop eighties, The Pirouettes font un pied de nez à la morosité ambiante.
