Le Maître de marionnettes

Le Maître de marionnettesTourné par maître Hou après La Cité des douleurs, ce film qui se déroule entre 1895 et 1945 à Taïwan le précède chronologiquement. Le cinéaste met à nouveau en parallèle les destins privés et l’arrière-plan politique, en utilisant cette fois les mémoires réels d’un vieux montreur de marionnettes, Monsieur Li, qui raconte […]

Pas très catholique

Anémone joue un Columbo féminin nommé Maxime. "J’ai choisi ce métier de détective, explique Tonie Marshall, parce que je voulais que cette femme puisse dormir dans sa voiture, ne pas avoir vraiment de maison ni de vie bien réglée." Mais en fait, c’est moins une œuvre policière que, comme l’indique la présence de Michel Roux […]

Garçon d'honneur

Un homosexuel américain d’origine chinoise décide d’épouser une femme pour rassurer ses parents. Ce qui entraîne naturellement une cascade de complications… Du vaudeville à la sauce soja qui fleure bon la tarte à la crème ­ conflit de générations, choc culturel Orient/Occident ­, et à peine pimenté par l’introduction d’une touche gay très correctpol.

Vivre !

Les tribulations d’une famille chinoise, des années 40 aux années 70. Ruiné au jeu, Fugi devient montreur d’ombres (chinoises !), puis est enrôlé dans le Guomindang. Ça ressemble vaguement au Maître de marionnettes de Hou Hsiao-hsien, sans en avoir la pureté formelle et narrative. C’est peut-être justement cette espèce de laisser-aller général, le côté erratique […]

Naked

NakedLes déambulations nocturnes et les insupportables considérations d’un clochard philosophe, agressif et désagréable, qui fait irruption dans la vie de deux femmes. Violence verbale et physique, sexe, misère, désespoir… Selon la formule consacrée, un film qui ne laisse pas indifférent et qui peut aussi bien susciter l’admiration pour sa peinture d’une société avilissante que le […]

Lillian & Thirteen

LILLIAN & THIRTEEN Les étranges films de David Williams, à la lisière de la fiction, du documentaire, du conte de fées et de l’art conceptuel.Les deux longs métrages de David Williams, cinéaste américain familier des festivals, sont enfin distribués en France (merci ED). Williams a la réputation de fabriquer des documentaires avec des images de […]

Trois couleurs : Rouge

Trois couleurs : RougeLe dernier volet ("Fraternité") de la trilogie républicaine de Kieslowski est plus réussi que Bleu, mais moins que Blanc. Comme souvent, le réalisateur utilise des procédés hitchcockiens pour signifier son dégoût du monde : un juge à la retraite (Trintignant) écoute les conversations téléphoniques de ses voisins. Faisant d’une jolie jeune femme […]

Snake eyes

Snake eyesFerrara fait du Doillon. Imbitable, cet ersatz prétentiard de film européen se déroule à Hollywood où Madonna joue la star et Keitel le cinéaste tourmenté. Celui-ci met en scène une histoire qui reflète peu à peu sa vie privée. C’est grotesque, bourré de clichés, et surtout d’un ennui (et d’une vacuité) torride.

Pas très catholique

Le portrait d’une femme libre à travers le regard oblique, ludique et unique de Tonie Marshall.Au milieu des années 90, Tonie Marshall convainquait, avec son deuxième film seulement, en filmant le portrait de l’irréductible Maxime. Difficile de réduire ce film à un genre. En filigrane, on peut y voir un documentaire sur Anémone. Plan après […]

La Lumière des étoiles mortes

Le troisième long métrage en vingt-deux ans d’un plasticien, qui réalisa en 1972 une belle œuvre-mosaïque sur la banlieue, L’Italien des roses. Malheureusement ici, Charles Matton délaisse toute ambition formelle et, en s’inspirant de ce qu’on imagine être un épisode de son enfance, il tombe dans des schémas à la fois conventionnels et douteux : […]

Le magazine

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