critique
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Drôle et épuré, le premier film de Louis Séguin invente une nouvelle mythologie à la figure du suceur de sang.
Si le metteur en scène allemand s’est laissé convaincre de monter une comédie musicale, c’est parce que c’était celle de Bertolt Brecht et de Kurt Weill. Présentée en ouverture de la 75e édition du festival d’Aix-en-Provence, c’est aussi la première aventure lyrique de la Comédie-Française.
Un groupe de collégien·nes passent l’été à courir après un assassin masqué… Entre récit initiatique et thriller secouant, ce manga haletant nous livre son premier tome. Ne manquez pas le top départ !
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Comment l’invisible et l’occulte ont-ils imprégné notre histoire littéraire ? Du XVIIIe siècle à l’émergence d’une contre-culture à la fin des années 1950, ce volume, dirigé par Sylvain Ledda, fait le tour de la question.
Quatre ans après son brillant coup d'essai “Tristesse Business : Saison 1”, le rappeur parisien remonte aux origines de son histoire avec un prologue à fleur de peau. En remuant les affres d'hier, Luidji étend son spectre musical et signe un deuxième album salvateur.
Cherchant à résoudre une énigme familiale, le dessinateur israélien croise à merveille plusieurs récits.
Le prolifique compositeur californien s'aventure sur les terres costariciennes, entre ambient, post-jazz et funk.
Le troisième film d’animation hollywoodien de ce début d’été n’est pas le plus original et ne sera clairement pas le plus commenté, mais il est sans doute le plus équilibré.
Des spectacles signés Benjamin Abel Meirhaeghe, Sébastien Kheroufi, Victoria Sitjà ou encore Camille Cau.
Sorti en 1977, le film secret de Nobuhiko Ōbayashi, perle rare de la comédie horrifique japonaise, sort pour la première fois dans les salles françaises.