critique
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Le nouveau film Albert Dupontel navre tant par sa forme indigeste que ses absurdités narratives.
Complètement émancipé du rap ou de la chanson française du moment, le Bon Gamin de Montreuil est toujours hors cadre.
Mort le 21 octobre 2003, le songwriter américain a laissé une trace indélébile dans le paysage musical, avec cinq albums au compteur qui sont autant de phares dans la nuit. Sa voix d’or résonne toujours.
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Six ans après “Process”, le prodige anglais revient nous hanter avec sa sensibilité à fleur de peau et son falsetto irréel.
Les auteurs d'“Intouchables” s’égarent dans un patchwork qui se voudrait à la fois social et écolo mais échoue aux deux et vacille sous ses incohérences.
Sébastien Laudenbach (“La Jeune fille sans mains”) et Chiara Malta, autrice d’une trilogie de courts métrages sur l’enfance et d’un long documentaire (“Armando et la Politique”) réalisent un film à la joyeuse effronterie, aussi drôle qu’émouvant.
L’exploration de vies parallèles s’évade de la SF pour envahir toute la fiction. La réalisatrice et comédienne Zoe Lister-Jones exploite cette dimension dans une série qui reste convenue.
Elle est sortie en catimini, alors que son casting réunit Jean Dujardin, Charlotte Gainsbourg, Pierre Arditi et Nicole Garcia. Que vaut la série de Nicolas Bedos ?
Le réalisateur d’“Illusions perdues” raconte en douze épisodes un casse à plusieurs milliards d’euros réalisé sans braquage, inspiré de faits aussi fous que réels et dont la chute sera sanglante.
Ce récit criminel en terres amérindiennes, bien que complexe dans les dynamiques qu’il dépeint, manque singulièrement de relief.