critique
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La série de Gérald Hustache Mathieu, qui regarde du côté de “Twin Peaks” et de “Fargo”, est une belle ode à celles et ceux qui vivent à côté de leurs pompes.
Jack Tatum, producteur du dernier album de Molly Burch, ne manque pas de panache. Au risque de passer du meilleur au moins bon.
Une rêverie pastorale en apesanteur où la voix de la compositrice et productrice catalane se révèle exceptionnelle.
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Au croisement de la techno et de la pop, la performeuse australienne, produite par Marlon Magnée de La Femme, fait dans l’audacieux maximalisme.
L'auteur nous entraîne dans l’enquête d’un jeune homme sur le suicide singulier de sa mère. Une traversée nocturne des apparences, écrite dans une langue épidermique.
Le Plat Pays a toujours été une terre fertile pour la bonne musique. James de Graef en donne encore la preuve en signant un premier album d’une beauté crépusculaire.
L’Américain délaisse un temps le hip-pop pour privilégier des claviers synthétiques et aériens.
En 2022 au Festival de Cannes, de nombreux cinéastes venus présenter leur film passent également devant la caméra de Lubna Playoust, prolongeant le “Chambre 666” de Wim Wenders, réalisé en 1982. Un documentaire qui vaut surtout pour son dispositif, qu’il reproduit docilement.
Débarrassée des oripeaux de son ancien alias, Lingua Ignota, l’Américaine Kristin Hayter livre un nouvel album en forme de geste rédempteur ultime, entre avant-garde folk et lyrisme de fin du monde.
Une œuvre majeure, sortie en 1993 et restée inédite en France, par un cinéaste japonais trop peu connu chez nous.