critique
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Avec ce film tourmenté et lumineux, Jean-Charles Hue arpente les rues de Tijuana pour dresser le portrait de ces “dames blanches”, observer leur façon d’exister dans un monde qui les ignore.
Après trois ans d'attente, Netflix a enfin sorti la deuxième saison de “Sweet Home”, avec encore plus de monstres et d’hémoglobine.
C’est la question que nous avons posée à 25 critiques de cinéma. En leur précisant de répondre du point de vue de leur pratique. Quels films leur ont donné des envies d’écriture ? Par lesquels se sont-ils sentis choisis ? Aujourd’hui les réponses de Jean Narboni, Marie Sauvion, Marcos Uzal, Timé Zoppé et Serge Kaganski.
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Dans “La Chimère”, sélectionné en Compétition à Cannes, la cinéaste italienne exhume le passé étrusque de son pays, mettant en scène des pilleur·ses de tombes qui feront ressurgir des fantômes d'un temps lointain...
Où une réfugiée afghane trouve un sens à sa vie dans une usine de “fortune cookies”. Une comédie indé entre Jarmusch et Kaurismäki.
Dans la continuité des “Misérables”, le cinéaste affûte son propos en démontrant comment s’exerce la violence d’État contre celles et ceux qu’il considère comme indésirables.
Sauver l’amour avec Ovidie, vieillir en étant queer, explorer la pop contemporaine, les inégalités aux toilettes et huit procès de femmes : sélection de ce qui a ravi nos oreilles cette année.
Mixant les deux “Caligula” d’Albert Camus écrits à dix-sept ans d’écart, le metteur en scène nous livre dans son insoutenable crudité le nihilisme absolu du tyran romain.
Tirée d’un fait divers sanglant des années 1970, la mini série de David E. Kelley plonge dans le monde normatif des maisons bien alignées, jusqu’à un fatal débordement.
Trois productions indépendantes singulières, “Pizza Possum”, “Frog Detective” et “Underground Blossom”, privilégient le court terme plutôt que la chronophagie. Pour des plaisirs fugaces sans cesse renouvelés.