critique
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Malgré une tentative de renverser le conformisme du biopic traditionnel, ce portrait d'Edvard Munch retombe dans les travers du genre.
Quand père et fille vivent en osmose, comment faire un peu de place au monde extérieur ? Sous des atours fantasques, une comédie aussi tendre que déchirante.
Comment rendre compte de l’invisible, expliquer l’inexplicable ? Une exposition et un beau livre font ressurgir d’intrigantes photos aux frontières du réel.
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Comme dans les grands romans sociaux du XIXe siècle, la jeune peintre Issy Wood transforme les objets en évocations de caractères psychologiques, de classes sociales et de relations de pouvoir. Lafayette Anticipations accueille sa première exposition en France, au fil de trois étages d’une étrangeté grotesque et poignante à la fois.
Dans la grande exposition que consacre le Palais de Tokyo à Lili Reynaud-Dewar, il est question des formes du collectif, des chemins de la dissidence et des manières de se redéfinir soi à travers les autres. Deux dispositifs spatiaux, des lits de chambre d’hôtel où s’allonger et une partie en accès libre qui permet les allées et venues, introduisent à cette matière filmée intime, politique, fictionnelle et sensuelle. Un lieu où venir s’alanguir, traîner et échafauder des plans d’action comme des projets de vie.
Quatre heures dans les cuisines d’une institution gastronomique française depuis quatre générations : la famille Troisgros, avec le plus grand documentariste américain vivant, Frederick Wiseman qui se et nous régale.
Vingt-trois ans après “Chicken Run”, les studios Aardman se sont associés à Netflix pour donner vie à la suite des aventures de Ginger et de Rocky… devenu·es parents d’une jolie petite poule, kidnappée par une entreprise de nuggets.
Si l’année a été marquée par nombre de retours inespérés (Everything but the Girl, Blur, The Streets, etc.), elle a également été riche en révélations et en confirmations d’artistes sur lesquel·les nous avions parié. Largement de quoi s’offrir un coup d’œil dans le rétro(futur).
Avec cette dramédie qui se déroule dans les seventies, le cinéaste américain n'évite pas les clichés mais fait une belle proposition.
Pour son troisième long métrage, la réalisatrice géorgienne Elene Naveriani filme l'éveil à la sensualité d’une femme de 48 ans.