critique
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
Un nouveau film dérivé de la franchise de mangas japonaise “City Hunter” (“Nicky Larson” en France) formaté pour sa fanbase et alourdi par son humour sexiste
Diffusé sur Disney+, ce biopic en six épisodes du célèbre couturier espagnol retrace sa vie de son arrivée à Paris, en 1937, à sa mort, en 1972.
Le deuxième album de Thomas Jean Henri Van Cottom confirme le talent immense de son auteur pour construire des miniatures intimes comme autant de songes en suspens.
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
Dans son premier long métrage, Noé Debré gomme les frontières entre comédie rassembleuse, drame social, brûlot politique et fantaisie weird.
Avec “People Who Aren’t There Anymore”, le groupe américain mené par Samuel T. Herring triture les machines, creuse sa veine expérimentale et emporte les corps.
Le réalisateur de “Carol” nous jette en pâture toute la cruauté et le cynisme des passions de la bourgeoisie blanche américaine.
Ilya Povolotsky signe un premier long métrage de fiction impressionnant de maîtrise autour d’un père et de sa fille tenant un cinéma itinérant.
Sur son troisième album, le kid de Vancouver soigne ses blessures en faisant souffler un vent frais sur le rock.
Par le scénariste de “Philadelphia”, l’histoire d’amour entre deux hommes à travers plusieurs décennies, entre mensonge, peur et passion. Saisissant.
Les Toulousains, signés chez Sub Pop, délivrent une heure vingt de chevauchées épiques et dévastatrices.