critique
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En restant branché sur les seventies, le duo parisien Ulysse Cottin et Armand Penicaut poursuit son rêve américain avec un sens du groove toujours aussi sûr.
Avec “Way Back Home”, le producteur français (Damso, Charlotte Gainsbourg ou Disiz) slalome entre les genres pour tenter de nous faire nous sentir comme chez lui.
Le trio formé par Thom Yorke, Jonny Greenwood et Tom Skinner redouble d’ambition et surprend en tutoyant les sommets en matière d’ambient paranoïaque.
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Le metteur en scène cible la liberté de ton des sociétés du Moyen Âge et nous invite à vivre les tribulations d’un jeune homme plongé dans un sommeil énigmatique.
Le roman d’Alice Walker ressuscité dans une version musicale chichiteuse, bigote et surtout formellement très indigeste.
Dans ce film plongeant dans le monde du catch et de la célèbre famille Von Erich, Sean Durkin s'attaque aux ravages d'une masculinité meurtrière.
Avec “L’Homme d’argile”, Anaïs Tellenne réalise un beau premier film et s’annonce comme une cinéaste prometteuse.
Dénué de véritable angle sur son sujet, Arnaud des Pallières se perd dans un film d'époque confus.
Toujours romantiques mais plus affirmé·es, les Californien·nes marchent sur les pas du Paisley Underground pour délivrer une musique qui se veut tout à la fois joyeuse et nerveuse.
D’après Fabrice Arfi, l’affaire de l’arnaque à la taxe carbone revue et corrigée par le réalisateur de “Quand j’étais chanteur”, s’offre six épisodes supplémentaires menés par Niels Schneider et Ramzy Bedia.