critique
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Endeuillée, l’artiste scandinave convoque ses disparus pour un déchirant tour de train fantôme lynchien intitulé “Big Anonymous”.
“Sans jamais nous connaître” : Andrew Scott et Paul Mescal, amoureux solitaires entourés de fantômes
Lorsque Adam retourne dans la maison de ses parents défunt·es, il les trouve tel·les qu’il les a laissé·es avant leur accident. Un exaltant voyage signé Andrew Haigh.
De la pop orchestrale réjouissante, par un duo franco-australien hyper-classieux : “Please Wait...” est à écouter sans attendre. Recommandé (aussi) par Paul Weller.
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À la base sortie spécialement pour le week-end du Nouvel An lunaire, en février dernier, cette gigantesque machine épique peu facile d'accès est finalement programmée en sortie nationale.
Après avoir consacré des années au synthétique, le touche-à-tout français donne plus de place aux guitares, tout en conservant son ADN pop.
L’organiste américaine s’approche au plus près du cœur battant de son projet artistique : capter sur le temps long l’essence sacrée du sentiment humain.
L’auteur de “Leurs enfants après eux” et “Connemara” mêle des textes partagés sur son compte Instagram à des dessins pour raconter une histoire d’amour clandestine, qui pose des questions métaphysiques comme politiques.
En deux albums, le groupe de Romain Guerret avait redonné grâce à la pop française. Aline le démontre encore avec la sortie inespérée d’une compilation d'inédits.
Une galerie de portraits de femmes menée à un train d’enfer par cinq actrices réjouissantes. Justine Heynemann opère avec “Culottées” l'inverse de Mary Poppins : sauter de la case dessinée sur la scène du vivant.
Vingt ans après son premier album, le rappeur londonien renoue enfin avec les sous-cultures britanniques qu’il soumet à sa voix souveraine et à son insolence retrouvée.