critique
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Le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un combat intersidéral dans son univers familier du Boulonnais... et fait cohabiter le chaos et la grâce à chaque plan.
Malgré ses tentatives pour nous surprendre, le nouveau film de l’auteur de “Jusqu’à la garde” reste tiède et convenu.
Un beau geste documentaire où la cinéaste regarde du côté de sa famille maternelle et d’une terre menacée de disparition.
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Dans les années 1990, il était partout : rien d’étonnant quand on devient artiste en passant à la télévision. Son succès a contribué à réconcilier médias et institutions. À l’ère de la viralité, des influenceur·ses et de l’économie participative, dans un contexte culturel toujours précaire, il est fécond de replonger dans son œuvre. Direction Vitry-sur-Seine.
Timm Kröger dépeint les tourments d’un jeune physicien dont la rationalité se délite, dans un film noir aux accents surnaturels.
Avec ce “faux concert” malicieux, l’autrice propose un antidote à la brutalité ambiante.
Du jazz poétique et élégant qui “transforme le brouillard en chansons”.
Le collectif français continue de relire la new wave et le postpunk avec talent.
Au Frac Rennes, dans “Le songe d’une nuit sans rêve”, l’artiste libanais Ali Cherri expose ses doutes et ses rêves, au cœur d’un paysage hanté par la guerre qui vient.
Un récit stimulant autour du sang. De celles et ceux qui le donnent, le reçoivent, le transportent ou le soignent.