critique
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Créant une continuité sensible entre les différents temps de répétitions d’un projet de film abandonné, Damien Manivel orchestre une cérémonie d’adieux à l’adolescence mélancolique et vibrante.
Inspirés, les pionniers mancuniens prouvent qu’ils ont encore des choses à dire grâce à un langage mêlant cold wave bouillante, funk ombrageux et touches free jazz.
“La Machine à écrire et autres sources de tracas” fait magnifiquement suite à “Sur l'Adamant” et “Averroès & Rosa Parks”. Une grande oeuvre.
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Après “La Fille au bracelet”, Stéphane Demoustier déploie son dispositif très hitchcockien sous le soleil corse.
Le trio de réalisateurs Guilhem Causse, Quentin L’helgoualc’h et Ekiem Barbier propose une immersion totale dans un jeu survivaliste, territoire anarchique autant que poétique.
Une grève ouvrière en 1924, notre rapport à l’alcool, une travailleuse du sexe et photographe sont à découvrir dans notre sélection d’avril.
Entre art social et rituels poétiques, le travail de la vidéaste, réalisé depuis dix ans au sein de communautés marginalisées, accompagne ses sujets dans la réinvention de leurs identités bafouées.
La productrice radio des “Pieds sur terre” livre un documentaire consacré à un imposteur phénoménal. Une randonnée romanesque à l’ombre du doute.
En prenant pour point de départ son cercle familial, l’autrice-productrice Hanaë Bossert raconte le destin de celles et ceux qui ont dû quitter l’Indochine et, plus largement, de leurs descendant·es.
Sur son troisième album, la nouvelle signature de Warp rejoint la liste des grandes innovatrices de la pop contemporaine (Caroline Polachek, Holly Herndon, Erika de Casier) à grand renfort d’influences philosophico-musicales.